Charpentier Montrejeau

Votre dernier traitement de charpente a plus de dix ans ? Il est temps pour notre charpentier à Montrejeau de le refaire !

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charpentier Montrejeau

traitement de charpente Montrejeau

La charpente se présente sous la forme d’un assemblage, généralement en bois, dont le rôle est de soutenir le matériau de la toiture afin que celle-ci assure, aux occupants du bâtiment, une protection efficace contre les intempéries. C’est donc un élément de la couverture dont il faut prendre soin. C’est ce que fait notre entreprise de charpente à Montrejeau spécialisée dans la pose de charpente, la rénovation de charpente ainsi que le traitement de charpente !

Les charpentes en bois peuvent subi les attaques de divers parasites dont les insectes xylophages et les champignons lignivores. À cause de leur présence, le bois se dégrade car ils se nourrissent de la sève du bois qui s’en trouve fragilisé. Cela engendre des dégâts comme créer des ruptures mécaniques au niveau de la structure de la charpente, entraîner des décalages des tuiles de la couverture donc des infiltrations et peut aller jusqu’à remettre en cause la solidité de la charpente. Il est alors nécessaire de se prémunir de ce genre de situation en réalisant un traitement de charpente préventif. Celui-ci est à renouveler tous les dix ans pour que la charpente bénéficie toujours d’une protection efficace.

 

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Si vous avez une charpente neuve, celle-ci a subi un traitement avant d’être posée. Ensuite, il est recommandé de renouveler l’opération chaque décennie. Le traitement préventif de charpente réalisé par notre couvreur à Montrejeau consiste à pulvériser un produit sur l’ensemble de la charpente ce qui évite que les insectes xylophages ne s’y installent ainsi que les champignons lignivores.

Si le traitement de charpente n’a pas été effectué dans les délais et que bois est infesté, notre entreprise de charpente à Montrejeau rétablira une situation saine grâce à un traitement de charpente curatif. Tout d’abord, notre professionnel commence par déterminer que les sont les insectes en présence pour réaliser le traitement approprié. Ainsi, s’il y a des coniophores des caves, il verra une coloration jaunâtre. Cette dernière sera brunâtre en cas de présence de lenzytes des poutres. En ce qui concerne les insectes xylophages, ce que l’on retrouve le plus couramment sont le capricorne des maisons particulièrement attirées par les bois résineux, le lyctus dont la présence est trahie par la présence de trous d’envol, la termite qui crée un bois vermoulu ou encore la vrillette caractérisée par les vermoulures dans les galeries creusées.

Notre charpentier à Montrejeau sait reconnaître chaque champignon et chaque insecte et connaît les produits efficaces pour lutter contre. Cela lui permet de réaliser un traitement de charpente approprié. Il consiste à creuser des puits d’infection pour que le produit pénètre dans le bois puis à le pulvériser sur le bois en deux couches pour une protection maximale. Les morceaux de charpente qui sont trop fragilisés seront remplacés ou bénéficieront d’un renfort pour garantir sa solidité.

Le traitement de charpente est une opération importante qui doit être réalisée par un professionnel aguerri. Notre entreprise de charpente à Montrejeau vous permet de profiter de l’expérience et du savoir-faire de notre charpentier à cet effet. Alors, pour tous travaux de charpente, prenez vite contact avec nous et demandez votre devis de charpente !

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Montréjeau

Ville assise à l'altitude de 468 m sur les terres du Comminges en Rivière-Verdun. Cette ancienne bastide offre un panorama sur la chaîne pyrénéenne. Aux distances de 830 km de Paris, 100 km de Toulouse, 14 km de Saint-Gaudens, Bagnères-de-Luchon 38 km, Tarbes et Bagnères-de-Bigorre 55 km, Lourdes 70 km, Auch 70 km, Pau 90 km, Bayonne 200 km, Perpignan 230 km, Andorre 150 km. Frontière avec l'Espagne à 26 km (Val d'Aran). Elle est la ville-centre d'une unité urbaine et de l'aire urbaine de Montréjeau.

TER Midi-Pyrénées par la gare de Montréjeau - Gourdan-Polignan : ligne de Montréjeau - Gourdan-Polignan à Luchon et ligne Toulouse-Bayonne, avec des trains directs de Paris à Bagnères-de-Luchon.

La bastide de Montréjeau est née du traité de paréage (association de plusieurs seigneurs) entre Eugène de Beaumarchais, sénéchal du roi de France Philippe III le Hardi, et Arnaud d'Espagne-Montespan, vicomte de Couserans, conclu en 1272 au château de Montespan[4]. Cette fondation s'inscrit dans la politique d'expansion de l'autorité royale dans le sud de la France, avec la réunion du comté de Toulouse au domaine royal (1271). Pour Arnaud d'Espagne-Montespan, il s'agit d'établir une place forte au cœur de ses possessions. La position du site présente de nombreux avantages. Proche de la cité épiscopale de Saint-Bertrand, au confluent de la Neste et de la Garonne, Montréjeau commande aussi la route d'Espagne. La ville est construite selon le modèle ordinaire des bastides, c'est-à-dire un quadrilatère doté d'un place centrale entourée d'arceaux, sur laquelle s'élève une halle (disparue en 1944), et organisé selon un plan en damier. L'ensemble est doté de murs d'enceinte, percés de quatre portes (le clocher de l'église Saint-Jean-Baptiste est un vestige de la porte Saint-Jean). Une première église est située à l'emplacement de l'actuelle église Saint-Jean-Baptiste. Montréjeau est en outre rapidement dotée d'un couvent de frères Augustins.

Art du trait de charpenterie

L'art du trait de charpenterie regroupe les moyens graphiques en usages depuis le XIIIe siècle en France permettant d’exprimer par le dessin et avec la plus grande précision la réalité des volumes d’un édifice, de leur pénétrations ainsi que les caractéristiques des pièces de bois qui permettent de les composer. Il fait l’objet d’un enseignement particulier, tout à fait distinct de la théorie et de la pratique de l’architecture. Par ce procédé le charpentier peut déterminer au sol et en préfabrication toutes les pièces, aussi complexes soient elles, et, ainsi, être certain qu'au moment de la mise en place de la charpente tous les assemblages les plus complexes et les plus volumineux s'emboîtent parfaitement.[1]

Eugène Viollet-le-Duc, dans l'article : Trait (art du) de son Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle[3], estime que le trait de charpenterie fut élaboré par les maitres et les compagnons charpentiers à la fin du XIIe siècle, sur les grands chantiers de France, en même temps que la stéréotomie, qui est l'art du trait de la pierre, était inventée par les appareilleurs, maitres tailleurs de pierre.

En 1766, Gaspard Monge commence à enseigner la géométrie descriptive qu'il a inventée en s'inspirant de l'art du trait[4]. Il démontre, généralise et rationalise les méthodes de tracé compagnonniques puis il publie ses travaux en 1770. L'usage industriel et les normalisations qui en ont résulté aboutissent au dessin technique dès le début du XIXe siècle.


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